"La dernière fois qu’on a vu ça, c’est quand Jesse Owens a couru en 1936. C’est incroyable. Ça fait chier d’avoir un public de merde comme ça sur les JO". En comparant l’ambiance de Rio à celle du stade olympique de Berlin lorsque l’athlète afro-américain Jesse Owens avait décroché pas moins de quatre titres à l’époque de l’Allemagne nazie, Renaud Lavillenie s’est attiré les foudres des internautes. Conscient de sa bourde, le recordman est finalement revenu sur ses propos via Twitter : "Désolé pour cette mauvaise comparaison que j’ai faite. C’était une réaction à chaud et je réalise que c’était faux".
Renaud Lavillenie fait son mea-culpa
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