Donc, voilà. J'étais au salon avec mon meilleur ami, et... comme à notre habitude, nous entamions l'une de ces discussions pseudo-philosophiques. Alors, nous nous turlupinâmes sur la question suivante : Hein ?
Question de prime abord simple, certes, voire grossière, mais qui finalement ne manque pas d'un certain... mystère, qui fait tout son charme.
En effet, il s'avère que cette question est sans objet. Or, il parait clair que la réponse que l'on apporte à une question dépend justement de l'objet de celle-ci ( ainsi que de la masse de conneries ingérée par le passé par l'éponge qui nous sert de cervelle). Que faire donc de cette question sans objet ? Pour le savoir, je vous invite à visiter ma page Facebook qui s'appelle "Hein ?", justement.
Après cette publicité subtilement amenée à vos yeux désormais indignés, reprenons où nous en étions : nulle part.
Mais tout d'abord, si nous en sommes nulle part, comment pouvons nous y être ? Si nous y sommes, à cette nulle part, c'est bien qu'il y a un "y" où nous sommes, et "y", c'est quelque chose, et quelque chose, c'est nécessairement quelque part ! Et ce quelque part en question, c'est le salon où j'étais avec mon meilleur ami, et où... comme à notre habitude, nous entamions l'une de ces discussions pseudo-philosophiques.
C'est terminé, poil au nez ! ( Il s'agit de ma future épitaphe)
Question de prime abord simple, certes, voire grossière, mais qui finalement ne manque pas d'un certain... mystère, qui fait tout son charme.
En effet, il s'avère que cette question est sans objet. Or, il parait clair que la réponse que l'on apporte à une question dépend justement de l'objet de celle-ci ( ainsi que de la masse de conneries ingérée par le passé par l'éponge qui nous sert de cervelle). Que faire donc de cette question sans objet ? Pour le savoir, je vous invite à visiter ma page Facebook qui s'appelle "Hein ?", justement.
Après cette publicité subtilement amenée à vos yeux désormais indignés, reprenons où nous en étions : nulle part.
Mais tout d'abord, si nous en sommes nulle part, comment pouvons nous y être ? Si nous y sommes, à cette nulle part, c'est bien qu'il y a un "y" où nous sommes, et "y", c'est quelque chose, et quelque chose, c'est nécessairement quelque part ! Et ce quelque part en question, c'est le salon où j'étais avec mon meilleur ami, et où... comme à notre habitude, nous entamions l'une de ces discussions pseudo-philosophiques.
C'est terminé, poil au nez ! ( Il s'agit de ma future épitaphe)