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Condorcet réincarné vous livre ses pamphlets acérés.
Je ne sais pas qui est cet ayatollah qui a enfilé sa plus belle robe pour affirmer que la femme devait prendre conscience de son infériorité.
Peu importe son nom, la seule question est :
et si c'était vrai ?
Finalement, dans notre monde formaté on ne se pose même plus la question, alors qu'elle est légitime !
Messieurs, vous avez déjà patientés derrière une femme qui tentait de faire un créneau, alors honnêtement, tout en pianotant nerveusement sur votre volant, vous ne pensiez pas la même chose ?
Et que dire de cette révoltante manière de s'apitoyer sur tout et n'importe quoi, depuis le chien mouillé jusqu'au bébé...mouillé.
Et si l'un de vous a déjà vu une femme signaler un hors-jeu durant un match de balle au pied, merci de me le dire.
Alors, je vous le demande de nouveau :
Et si c'était vrai ?
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Sélection nationale
On commence à entendre ici et là des voix s'élever pour indiquer que, finalement, certains immigrés, ingénieurs, informaticiens, médecins, pourraient avoir une place dans notre belle France,
Réfléchissons un peu, comment faire ?
Et si nous faisions un tri à l'entrée des camps pour séparer l'utile du dangereux…..
Décidément l'histoire bégaie.
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Alors il paraît que le prix d'Amérique est maintenant le prix d'Amérique- Opodo !
Bercy devient l'accor-Aréna, les stades de football, et Dieu sait si je m'en fout, portent le nom d'entreprises et non plus le patronyme d'un notable d'antan ou d'un joueur ayant donné du bonheur (est-ce possible ?) à des spectateurs hurlants leur haine de l'adversaire.
Une autre dérive tri marrante, le nom de baptême de ces grands voiliers qui portent fièrement une marque de rillettes sur leurs voiles gonflées, poursuivi par un bateau pâte à tartiner à la bagarre avec une compagnie d'assurance.
Le nom des courageux marins qui risquent leurs vies ne vient que longtemps après dans la bouche de journalistes qui espère un beau voyage d'un sponsor reconnaissant.
Alors jeune talent d'aujourd'hui, j'irais vous voir à l'Olympia-William Saurin sans doute, j'en salive d'avance.
Il reste une bonne nouvelle, on peut maintenant écrire n'importe comment, plus personne n'est en mesure d'arbitrer une langue à l'image de sa culture : à la dérive.
Un jeune con ne sait pas qu'il est con, devenir un vieux con est un plaisir rare.
J'écris toujours "clef".
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Les gars de la Marine
La Marine, c'est vraiment le pompon, à naviguer dans le caniveau de l'histoire manquerait plus qu'elle enlise le paquebot France dans la fange nauséabonde de ses idées étroites, elle est partie pour rejeter à la mer tout ce qui lui fait peur : l'Europe, l'Euro, l'Etranger, qui peut savoir quoi d'autre bientôt.
Essayons de ramer dans le même sens, contre ce courant qui nous mène tout droit vers des chutes dont le grondement se fait de plus en plus assourdissant.
Je ne sais pas qui est cet ayatollah qui a enfilé sa plus belle robe pour affirmer que la femme devait prendre conscience de son infériorité.
Peu importe son nom, la seule question est :
et si c'était vrai ?
Finalement, dans notre monde formaté on ne se pose même plus la question, alors qu'elle est légitime !
Messieurs, vous avez déjà patientés derrière une femme qui tentait de faire un créneau, alors honnêtement, tout en pianotant nerveusement sur votre volant, vous ne pensiez pas la même chose ?
Et que dire de cette révoltante manière de s'apitoyer sur tout et n'importe quoi, depuis le chien mouillé jusqu'au bébé...mouillé.
Et si l'un de vous a déjà vu une femme signaler un hors-jeu durant un match de balle au pied, merci de me le dire.
Alors, je vous le demande de nouveau :
Et si c'était vrai ?
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Sélection nationale
On commence à entendre ici et là des voix s'élever pour indiquer que, finalement, certains immigrés, ingénieurs, informaticiens, médecins, pourraient avoir une place dans notre belle France,
Réfléchissons un peu, comment faire ?
Et si nous faisions un tri à l'entrée des camps pour séparer l'utile du dangereux…..
Décidément l'histoire bégaie.
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Alors il paraît que le prix d'Amérique est maintenant le prix d'Amérique- Opodo !
Bercy devient l'accor-Aréna, les stades de football, et Dieu sait si je m'en fout, portent le nom d'entreprises et non plus le patronyme d'un notable d'antan ou d'un joueur ayant donné du bonheur (est-ce possible ?) à des spectateurs hurlants leur haine de l'adversaire.
Une autre dérive tri marrante, le nom de baptême de ces grands voiliers qui portent fièrement une marque de rillettes sur leurs voiles gonflées, poursuivi par un bateau pâte à tartiner à la bagarre avec une compagnie d'assurance.
Le nom des courageux marins qui risquent leurs vies ne vient que longtemps après dans la bouche de journalistes qui espère un beau voyage d'un sponsor reconnaissant.
Alors jeune talent d'aujourd'hui, j'irais vous voir à l'Olympia-William Saurin sans doute, j'en salive d'avance.
Il reste une bonne nouvelle, on peut maintenant écrire n'importe comment, plus personne n'est en mesure d'arbitrer une langue à l'image de sa culture : à la dérive.
Un jeune con ne sait pas qu'il est con, devenir un vieux con est un plaisir rare.
J'écris toujours "clef".
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Les gars de la Marine
La Marine, c'est vraiment le pompon, à naviguer dans le caniveau de l'histoire manquerait plus qu'elle enlise le paquebot France dans la fange nauséabonde de ses idées étroites, elle est partie pour rejeter à la mer tout ce qui lui fait peur : l'Europe, l'Euro, l'Etranger, qui peut savoir quoi d'autre bientôt.
Essayons de ramer dans le même sens, contre ce courant qui nous mène tout droit vers des chutes dont le grondement se fait de plus en plus assourdissant.
