Je pense que c'est un bel hommage pour un grand bel homme, bellement humain (bêêê). Pour les quelques zozos plus ou moins ignares, c'est, en toute complexité, un type qui s'adresse à sa vie dans une déclaration enflammée:
Entre gifles et caresses
Ma vie, je t'aime, ce n'est pas drôle, ne te moque pas de moi, mon amour est trop sincère. J'aime ta fragilité, la douceur aussi de ta peau que ma sensibilité caresse à chaque instant, ton côté gauche, ton côté tragique, salope aussi, et tes yeux malicieux. Si parfois je m'emporte, si parfois je t’insulte et m'en vais en claquant la porte, en croyant du moins le faire, ce n'est pas contre toi, c'est pour raviver la flamme de mon désir d'éternel enfant, gamine. Arrête tu me pinces ! Tiens ! Prends ça ! En plus tu aimes ça les fessées que je te donne contre les sales coups que je reçois. La vie est une chienne... Tu m'étonnes ! Une grosse chiennasse, hein ma chérie ? Douce au début, de plus en plus violente. Douce à nouveau, et ça repart ! Ça m'excite ! Quelle conception vulgaire de l'amour... Bah ouais... Comme toi ma jolie, avec ton franc-parler, ta manière de t'incruster dans toutes mes activités. T'es chiante, j'en ai marre de toi par moment. Malgré cela, je ne veux pas te perdre, et je sais pourtant que je te perdrai, que je perdrai la vie, et l'amour, et ça me tue.
Oh ! Tu m'écoutes quand je te parle ? Non tu t'en fous... Tu fais ta vie. T'as raison fais comme chez toi. Qu'à ta tête comme d'habitude, la mienne. Et moi qui te suis comme un toutou, à croire qu'entre gifles et caresses, je t'ai dans la peau mon âme-sœur siamoise. Je te suis corps et âme et tu m'es corps et âme.
Pour autant je ne me fais pas d'illusion, tu es bien comme toutes les autres: tu me quitteras pour la première mort venue qui ouvrira devant toi son grand manteau noir d'exhibitionniste, pour te montrer sa belle... Faux (quelle herreur !). Je t'ai déjà suivie, à mes dépens, dans bien des vices, bien des fouets et bien des fois, mais là, la nécrophilie... C'est trop, c'est trop pour moi. On se quitte donc ici.
C'était donc une déclaration enflammée jusqu'à l'incinération
Entre gifles et caresses
Ma vie, je t'aime, ce n'est pas drôle, ne te moque pas de moi, mon amour est trop sincère. J'aime ta fragilité, la douceur aussi de ta peau que ma sensibilité caresse à chaque instant, ton côté gauche, ton côté tragique, salope aussi, et tes yeux malicieux. Si parfois je m'emporte, si parfois je t’insulte et m'en vais en claquant la porte, en croyant du moins le faire, ce n'est pas contre toi, c'est pour raviver la flamme de mon désir d'éternel enfant, gamine. Arrête tu me pinces ! Tiens ! Prends ça ! En plus tu aimes ça les fessées que je te donne contre les sales coups que je reçois. La vie est une chienne... Tu m'étonnes ! Une grosse chiennasse, hein ma chérie ? Douce au début, de plus en plus violente. Douce à nouveau, et ça repart ! Ça m'excite ! Quelle conception vulgaire de l'amour... Bah ouais... Comme toi ma jolie, avec ton franc-parler, ta manière de t'incruster dans toutes mes activités. T'es chiante, j'en ai marre de toi par moment. Malgré cela, je ne veux pas te perdre, et je sais pourtant que je te perdrai, que je perdrai la vie, et l'amour, et ça me tue.
Oh ! Tu m'écoutes quand je te parle ? Non tu t'en fous... Tu fais ta vie. T'as raison fais comme chez toi. Qu'à ta tête comme d'habitude, la mienne. Et moi qui te suis comme un toutou, à croire qu'entre gifles et caresses, je t'ai dans la peau mon âme-sœur siamoise. Je te suis corps et âme et tu m'es corps et âme.
Pour autant je ne me fais pas d'illusion, tu es bien comme toutes les autres: tu me quitteras pour la première mort venue qui ouvrira devant toi son grand manteau noir d'exhibitionniste, pour te montrer sa belle... Faux (quelle herreur !). Je t'ai déjà suivie, à mes dépens, dans bien des vices, bien des fouets et bien des fois, mais là, la nécrophilie... C'est trop, c'est trop pour moi. On se quitte donc ici.
C'était donc une déclaration enflammée jusqu'à l'incinération