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Thérèse.
Bien sûr je ne connaissais pas son prénom tandis que je suivais des yeux son fessier bondissant à chaque pas sur ce boulevard parisien ivre de soleil et chargé de la testostérone de tous ces mâles sortant d'hibernation.
Son air de biche égarée faisant fondre ma méfiance instinctive je lui demande avec assurance : "vous êtes perdue Mademoiselle ?"
Oh oui charmant jeune homme (j'étais déjà percé à jour), je cherche la route pour Deauville.
Vous ne pouviez mieux tomber, je comptais m'y rendre comme chaque week-end, venez, ma Twingo est garé Pte de Pantin, à pied il nous faudra à peine 2 heures pour la rejoindre et ensuite à nous la liberté.
C'est beau le rêve dans les yeux d'une jeune femme.
L'autoroute tenait ses promesses ce vendredi soir, tous ces véhicules cul à cul m'inspiraient un désir grandissant pour la belle Thérèse. Ses cuisses dénudées près de ma main crispé sur le levier de vitesse, le ruban de bitume se déroulait sous mes yeux, chaque kilomètre avalé était une promesse.
Arrivant enfin à l'entrée de cette charmante bourgade normande j'ai pu lire dans ces yeux un instant de panique, à droite c'est Trouville...
Mais non charmante Thérèse, je ne suis pas comme ça. A nous la grande vie, il y a bien un Formule 1 à Deauville.
Et c'est là, dans cette station service, alors que je faisais le plein d'essence et de courage que je l'ai vu monter à bord d'une Porsche, la dernière image de Thérèse qui me reste, c'est son opulente chevelure flottant dans le sillage du bolide.
Il ne me restait plus que Lisieux pour pleurer.
Bien sûr je ne connaissais pas son prénom tandis que je suivais des yeux son fessier bondissant à chaque pas sur ce boulevard parisien ivre de soleil et chargé de la testostérone de tous ces mâles sortant d'hibernation.
Son air de biche égarée faisant fondre ma méfiance instinctive je lui demande avec assurance : "vous êtes perdue Mademoiselle ?"
Oh oui charmant jeune homme (j'étais déjà percé à jour), je cherche la route pour Deauville.
Vous ne pouviez mieux tomber, je comptais m'y rendre comme chaque week-end, venez, ma Twingo est garé Pte de Pantin, à pied il nous faudra à peine 2 heures pour la rejoindre et ensuite à nous la liberté.
C'est beau le rêve dans les yeux d'une jeune femme.
L'autoroute tenait ses promesses ce vendredi soir, tous ces véhicules cul à cul m'inspiraient un désir grandissant pour la belle Thérèse. Ses cuisses dénudées près de ma main crispé sur le levier de vitesse, le ruban de bitume se déroulait sous mes yeux, chaque kilomètre avalé était une promesse.
Arrivant enfin à l'entrée de cette charmante bourgade normande j'ai pu lire dans ces yeux un instant de panique, à droite c'est Trouville...
Mais non charmante Thérèse, je ne suis pas comme ça. A nous la grande vie, il y a bien un Formule 1 à Deauville.
Et c'est là, dans cette station service, alors que je faisais le plein d'essence et de courage que je l'ai vu monter à bord d'une Porsche, la dernière image de Thérèse qui me reste, c'est son opulente chevelure flottant dans le sillage du bolide.
Il ne me restait plus que Lisieux pour pleurer.
